Le 1er avril biscornu (novembre 2025)

  • Auteur/autrice de la publication :

Le 1er avril biscornu

Le premier avril est, en général, le moment propice l’objet de proposition ayant une apparence de sérieux tout en se révélant une vaste fumisterie. C’est un peu ce que nous avons vécu pendant le mois d’octobre avec les (pseudo) gouvernements Macron-Lecornu. Notre dernière tribune en annonçait les prémices, mais la réalité nous a largement dépassé.

(suite…)

9 septembre – 21 septembre (octobre 2025)

  • Auteur/autrice de la publication :

9 septembre – 21 septembre

A l’heure où sont écrites ces lignes, la France n’a pas de gouvernement hormis un Premier Ministre. Premier mais bien seul. On pourrait dire « quelle rigolade » si l’ensemble du pays n’était pas impacté. Seul avec Macron, Président de la République solitaire car plus personne ne le pense capable de sortir de la crise qu’il a lui-même déclenchée.

(suite…)

10 septembre (septembre 2025)

  • Auteur/autrice de la publication :

10 septembre

Depuis quelques semaines, à partir d’un simple message posté sur un « réseau social », de nombreux appels se font jour, pour « tout bloquer » à partir du 10 septembre. C’est un peu comme cela qu’avait commencé le mouvement «des « gilets jaunes ». De là à imaginer quelque chose d’identique, il y a une marge que nous nous garderons de franchir.

Tour à tour, tous les secteurs de l’économie réelle rejoignent le mouvement, privés comme publics, organisés ou non.

(suite…)

Sécurité : la voie de droite est sans issue (juillet 2025)

  • Auteur/autrice de la publication :

Sécurité : la voie de droite est sans issue

Dans le dernier numéro du journal municipal, l’édito du Maire, la tribune de son groupe et quatre pages sont consacrées à la sécurité. Mais à faire des hypothèses erronées, on arrive à une conclusion erronée : ce n’est pas la sécurité qui apporte la liberté, mais la liberté et l’égalité qui apportent la sécurité.

Au point de vue institutionnel, la sécurité n’est pas définie. La Constitution y fait référence dix fois, dont neuf au sujet de… la sécurité sociale. La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme n’en parle pas plus. Celle de 1789, pas du tout. Elle fait appel à la sûreté, mais ce n’est pas la même chose : il s’agissait de ne pas être arrêté par le fait du prince. Et pourtant, à cette époque, les rues étaient bien plus dangereuses qu’aujourd’hui.

(suite…)